Avant d’acheter votre terrain

Avant d’acheter votre terrain

 

Lorsque vous aurez consulté plusieurs agents immobiliers, vu votre notaire, constructeurs  divers, plusieurs terrains (lotisseur) et municipalité, vous allez vous trouver face à un petit choix de terrain correspondant ou se reprochant, -c’est plus souvent le cas- à vos critères de sélection. Possibilités financières, implantation souhaitée pour la maison, surface, exposition, quartier, ainsi qu’une certaine proximité pour toutes les commodités, écoles, lieux de cultes, commerces, activités culturelles, sportives  loisirs. Pour les terrains les plus éloignés, vous avez réfléchis aux moyens de transports, publics ou privés ainsi qu’à leur coût ;

Mais avant toute décision définitive il reste indispensable de vérifier quelques données complémentaires d’ordre financier, juridique, et technique. Vous  pourrez consulter à ce sujet un spécialiste.

 

Les données financières.

 

Le prix au mètre carré du  terrain, les droits d’enregistrement de l’acte d’achat et les frais de  notaire ne seront pas les seules dépenses. A programmer. Bien souvent s’y ajoutent :

*les frais de bornage.

* les dépenses d’aménagement ou de réfection d’une voie d’accès.

*les dépenses qui peuvent devenir considérables, si le besoin d’avoir un terrassement avec mur de soutènements.

*Les raccordements en eau électricité, réseaux d’évacuation.

*le  coût des clôtures.

*les taxes diverses de branchement,

Si pour construire vous devez contracter un emprunt, il sera préférable de faire une demande globale comprenant l’achat du terrain et de la construction. Car souvent vous obtiendrez un meilleur taux que pour un terrain seul.

 

Les données juridiques.

 

 

Elles portent essentiellement sur les servitudes, c’est-à-dire les contraintes à respecter pour construire. On distingue les servitudes de droit public de celles de droit privé.

Les servitudes d’urbanisme régissent l’utilisation du terrain en fonction de sa  situation dans les diverses zones prévues par le plan d’occupation des sols. Elles précisent la surface des parcelles, la hauteur et la forme des constructions, la densité d’implantation, les dispositions techniques à respecter, les alignements façade etc.

Pour   les connaître on se procure simultanément au bureau du maire de la localité le certificat d’urbanisme Les imprimés nécessaires pour la demande sont délivrés en mairie. Selon les communes il peut y avoir de fortes  variations ;  mais à titre d’exemple, sur un terrain d’au moins 1000m2 quand il est raccordé à la voie publique et à un réseau de distribution d’eau potable, la surface du logement doit être supérieure au dixième du terrain et inférieure à 250m2. Sur un terrain d’environ 4000m2  lorsqu’il est raccordé à la voie publique, la surface du logement doit être inférieure aux 250m2.

Dans tous les cas nous vous avons simplement donné ce mode ce calcul afin de vous faire prendre la mesure du mode de calcul utilisé. Ne   pas se fier à cet exemple qui a toutes les chances de ne correspondra pas a votre cas.

 

 

Les servitudes de voirie

 

Elles concernent : La distance avec les routes, les autoroutes,

La visibilité que les propriétaires doivent ménager près des carrefours et des virages.

La distance entre  divers ouvrages et les voies ; arbres, haies, le long d’une voie ferrée, le long d’un cours d’eau autant de normes et de distances à respecter qu’il convient de bien connaître avant d’implanter par exemple sa clôture sous peine de devoir tout recommencer.

Ne pas hésiter donc à aller se renseigner auprès de votre mairie pour connaitre les dispositions qui peuvent s’appliquer à tel ou tel cas particulier.

 

Les données techniques.

 

 

Les raccordements : le certificat d’urbanisme précise :   La distance entre le terrain et les réseaux d’électricité et de gaz de France,  d’adduction d’eau, des télécommunications ;

L’existence ou non d’un réseau tout à l’égout : dans l’affirmative il faut implanter la maison de façon que l’écoulement soit gravitationnel. Ou en plus clair, que l’écoulement se fasse grâce à la pente, sans que l’on soit obligé de faire appel à un système de pompage. Il est toujours possible, sur le plan technique, d’amener l’eau l’électricité, et le gaz jusqu’en limite de propriété, mail il faut toujours faire attention au coût des travaux qui peut être très élevé en raison de l’éloignement ou la nature du terrain.

Par contre en l’absence de tout à l’égout, il faut être très prudent en ce qui concerne l’évacuation des eaux usées, qui peut poser de gros  problèmes liés à la nature du sol.

C’est d’ailleurs le cas par exemple pour un terrain argileux.

Le sol

 

Il faut tenir compte de la configuration et de la nature du sol de façon à éviter des  surprises désagréables qui seraient génératrices de dépenses supplémentaires relativement importantes.au moment de l’exécution des fondations, ou pis encore de désordres toujours plus graves. Qui pourraient n’apparaître qu’une fois la maison terminée.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Construire soi-même sa maison ?

 

Construire soi-même sa maison ?

 

Il Faut  prendre la mesure de  toutes les tâches ainsi que de toutes les barrières que vous aurez à franchir pour arriver à bâtir votre maison.. Si par votre métier vous avez acquis certaines bases, il vous faudra seulement combler certaines lacunes. Si par contre vous êtes totalement ignorant de tout ce qui peut toucher de près  ou de loin à la construction d’une maison, il est temps de vous mettre au boulot et apprendre toutes les bases, conseils,  trucs et astuces, que vous pourrez trouver. Ne pas oublier une grosse dose de persévérance.

Il peut arriver pour diverses raisons pouvant être d’ordre économique, ou par pure envie de « faire soi-même » que vous ayez envie de vous lancer seul dans la construction de  votre maison. Plusieurs choix s’offrent à vous.

 

1/  tout faire soi-même.

 

Vous devrez tout  assumer de A à Z.  Si tel est le cas il vous faudra  supporter toutes les responsabilités juridiques. Faire vos plans,  Résoudre tous les problèmes techniques, faire vos demandes de permis de construire, vous occuper des financements, choisir les matériaux, construire la maison, et en fin de travaux obtenir le certificat de conformité. Pas simple tout ça en vérité. Et si en plus vous avez un boulot…Mais je connais pal mal de gens qui se sont lancés avec brio, j’ai même l’exemple d’une famille qui s’est lancée à construire un petit immeuble. Ils ont sacrifiés tous leurs weekends soirées et vacances, pendant plusieurs années. Le résultat est édifiant.

 

2/ Assurer la gestion de votre projet  et employer des ouvriers

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Vous avez pris la décision  de construire en employant vous-même des ouvriers qualifiés du bâtiment. Agir tel qu’un entrepreneur général. L’ensemble des problèmes vous reviennent  mais en plus il faut  assumer le fait  que vous êtes désormais  devenu Patron !

Vous devrez  pour se faire être en accord avec les lois du travail ;vous acquitter de vos charges,  obtenir un statut d’employeur temporaire.

 

3/ Prendre une  entreprise.

Vous continuez à gérer vous-même la gestion de votre maison, mais assurez en plus le recrutement de ou des artisans, qui vont construire votre maison.

Le propriétaire qui confie la construction à une ou plusieurs entreprises ou artisans doit les choisir après consultation et mise en concurrence puis signer suivant les cas ses devis.

 

Attention à ne pas s’engager avant d’avoir obtenu toutes vos autorisations, permis de construire, accords ferme d’emprunts, etc.. Vérifier aussi la solidité de l’entreprise, ses références, les garanties offertes.  Les tarifs les moins chers ne sont pas toujours la meilleure affaire au final ;    Ayez toujours à  l’esprit qu’un artisan travaille pour gagner son pain quotidien, et que s’il pratique des prix anormalement bas il y a un problème sérieux caché, qui tôt ou tard risque de vous retomber dessus. Il n’y a pas de miracle. Il devra soit bâcler le travail, soit tirer la qualité de la marchandise vers le bas, souvent les deux. Ça c’est dans le meilleur des cas, quelquefois cela se solde par un abandon de chantier.

Vous ne verrez les résultats désastreux que quelques années plus tard et votre super artisan auront mis la clé sous la porte depuis longtemps.

 

4/ se faire assister par un architecte, ou  par un courtier en travaux.

 

 

Une solution qui peut s’avérer judicieuse : faire appel à un courtier en travaux.

Une excellente aide pour la gestion et la sélection des entreprises. Bien sûr comme pour les autre corps de métier assurez-vous des compétences, de son expérience, et du sérieux de votre courtier.

Les avantages à opter pour cette solution sont nombreux.

Premièrement il ne vous en coûtera rien. Le courtier se rémunère sur un pourcentage pris sur les entreprises qui vont travailler sur votre chantier. Oui je vois déjà votre première réaction : oui mais alors les prix vont être majorés ! Eh bien non ! le but n’est pas de compenser les montants des commissions en augmentant les devis. Le courtier travaille avec un relationnel d’entreprises, et leur fait dons économiser tout le temps de prise de contact, de dégrossissement des travaux. Des négociations diverses, en gros il économise un temps fou, qu’il peut mettre à profit pour passer plus de temps sur ce qui lui rapporte sur ses chantiers.

De plus le courtier se doit de connaître les prix du marché et pourra vous aider à obtenir des prix placés. En outre il consultera obligatoirement plusieurs entreprises.

 

Pour conclure ce dossier,

 

Je dirai que le choix de la façon de procéder dépendra entièrement de vous et de votre expérience en la matière. N’hésitez pas à vous documenter, fouiller et rechercher les meilleures solutions techniques cadrant avec votre budget.

Toutefois ne vous surévaluez pas, car les erreurs dans le domaine de la construction coûtent au final très cher. Vous auriez vite fait de vous épuiser physiquement et moralement, si ce n’est aussi financièrement. Et il n’t aura pas toujours un Marc Emanuel de « l’émission tous ensemble » pour vous sortir du bourbier !

Confier la construction de votre maison à un professionnel

Confier la construction de votre maison à un professionnel

 

Plusieurs options s’offrent à vous.

 

Choisir la bonne option peut s’avérer être en fait un choix très délicat. Se lancer seul ou de faire assister par un professionnel, est sans conteste  LE choix le plus important de toutes vos démarches. En effet il convient de ne pas se tromper sous peine de vivre une véritable épopée.

 

Un rêve qui  peut très vite tourner au  cauchemar. Vous allez tout d’abord faire le choix de vous tourner vers un architecte, une entreprise générale, un promoteur, ou un artisan.

Vous devrez ensuite accepter et signer les devis, puis signer des contrats qui vous garantiront jusqu’au parachèvement des travaux. Ce qui revient à dire que vous allez confier tout votre argent pendant un temps à des tiers.

Il faut donc ressembler un maximum d’informations sur ces sociétés  avant toute signature.

Il existe une catégorie de professionnels qui peuvent utilement vous conseiller dans vos démarches. Vous pourrez ainsi éviter de nombreux  écueils. Lorsque  vous vous   adressez à des   professionnels pour faire construire votre  maison,

vous  disposez souvent de plusieurs options possibles : selon que vous possédiez  déjà votre terrain, vos plans, des devis, vous préférez une maison isolée ou dans un lotissement,

 

1/ Propriétaire du terrain et des plans

 

Dans ce cas de figure vous avez déjà votre terrain et des plans que vous avez réalisés ou que votre meilleur ami à établis pour vous. Vous décidez de faire appel à une entreprise  générale de bâtiment qui devra vous livrer une maison clé en main. Vous allez donc signer

Un :  contrat d’entreprise. vous pourrez toutefois vous faire assister d’un architecte ou d’un courtier en travaux, d’un contrôleur technique, ou d’un bureau d’études. Selon les cas de figures et devant la complexité de l’ouvrage à réaliser il est parfois fortement conseillée de faire appel à ce type de professionnel.

 

2/ Propriétaire du terrain seulement.

 

Vous devrez dans ce cas choisir votre future maison sur photos, et plans, ou vue 3 D si vous avez la possibilité de tomber sur un professionnel équipé. Là encore  vous pourrez consulter un architecte, un courtier en travaux, un bureau d’études, et une entreprise du bâtiment. Une fois que vous aurez fait votre choix, il ne restera plus qu’à vous lancer…

 

La procédure à suivre sera alors la suivante :

  1. A) Vous signez alors un : contrat de construction de maison individuelle sur plan dans lequel vous devrez retrouver : la description précise et complète de la maison : plans surfaces, nombre de pièces, dégagements, dépendances, éléments d’équipements intérieurs et extérieurs.

*La notice descriptive suivant un modèle officiel.

*L’affirmation que le projet est conforme aux règles de l’urbanisme et de l’habitation.

*La date de livraison.

* Le prix total tout compris.

* l’échelonnement des versements, ou deux cas sont à considérer :

 

* Le constructeur est cautionné par un organisme extérieur (banque)

 

C’est ce que l’on nomme la garantie extrinsèque.

Les versements se réalisent en général de la façon suivante :

-5% à la signature du contrat.

-15% à l’obtention du permis.

-20% à la fin des fondations.

-55% à la mise hors d’eau. 95% 0 l’achèvement des travaux.

-95% à l’achèvement des travaux d’équipement, de plomberie et chauffage…

-Le solde sera versé à la réception des travaux sauf dans le cas de réserves ou ces 5% restant seront consignés.

* Le constructeur n’est pas cautionné par un organisme extérieur.

 

C’est ce que l’on nomme la garantie intrinsèque.

Dans ce cas les versements cumulés sont plus réduits et « serrent » de  près le déroulement des travaux :

-3% à la signature

-20%  à la fin des fondations,

-45% à la mise hors d’eau,

-75% achèvement des travaux d’équipement de plomberie, menuiserie, chauffage.

-Le solde sera versé à la réception des travaux. En cas de réserves 15% pourront être consignés.

Réception :

 

Elle se  fait avec le constructeur à la fin des travaux. Les trois possibilités qui se présentent sont les mêmes que dans le cas du contrat d’entreprise.

 

Garanties :

 

Toutes les garanties  doivent bien entendu, figurer dans le contrat.

*Si le permis de construire n’est pas accordé, une clause doit prévoir l’annulation du contrat et le remboursement des sommes versées.

* Prévoir une clause vous permettant de résilier le contrat si le prix de fondations imprévues se révèle trop élevé.

*Garantie intrinsèque ou garantie extrinsèque.

*retenue de garantie.

*garantie biennale.

*garantie décennale.

 

  1. B) Vous pouvez mandater un spécialiste ou une société qui signe en votre nom. Dans ce cas vous devrez signer un : contrat de promotion immobilière.

Article 1831-1 

Modifié par Loi n°78-12 du 4 janvier 1978 – art. 5 JORF 5 janvier 1978 en vigueur le 1er janvier 1979.

C’est le promoteur qui est mandaté pour accomplir toutes les opérations nécessaires à la bonne fin des opérations.

 

Doivent figurer sur le Contrat les clauses suivantes :

*la description exacte du terrain.

*la description détaillée de la maison.

* le délai des travaux.

*le prix convenu.

*l’échelonnement des versements cumulés en fonction du montant total :

-15% à l’achèvement des fondations,

-70% à la mise hors d’eau.

-Le solde sera versé à l’achèvement des travaux.

Avant le versement, le promoteur devra vous fournir la justification de l’état d’avancement des travaux.

 

Réception : (Voir plus haut contrat d’entreprise.)

 

 

La mission du constructeur (promoteur)  prend fin lorsque les conditions suivantes sont remplies.

*Réception des travaux effectuée et réserves éventuelles levées.

* comptes entre entreprises arrêtés

Garanties à fournir :

Le promoteur doit être cautionné par un organisme financier.

Garantie Biennale.

Garantie décennale.

 

3/ ni terrain ni plans.

 

Vous ne possédez rien encore. Vous pourrez opter pour une maison groupée, accolée, ou isolée, construite avec d’autres dans un ensemble nommé lotissement. Vendu et produit par des promoteurs.

Vous pourrez aussi acheter un terrain et des plans à une société spécialisée vendant sur catalogue, (book). Dans ces deux cas se sera le contrat de vente d’immeuble à construire

Article L261-1 

Modifié par Loi n°2006-872 du 13 juillet 2006 – art. 80 JORF 16 juillet 2006

Ainsi qu’il est dit à l’article 1601-1 du code civil :

 » La vente d’immeuble à construire est celle par laquelle le vendeur s’oblige à édifier un immeuble dans un délai déterminé par le contrat. Elle peut être conclue à terme ou en l’état futur d’achèvement.

 

  1. A) Un contrat de réservation.

 Les clauses comprennent : la description exacte et détaillées de la future maison, la description des matériaux, et la situation de la maison, ainsi que bien sûr son prix, la date de signature du contrat, le montant et les conditions de prêt.

Le dépôt de garantie. 

C’est le seul exigible et il est limité à 5% du prix de vente. Il ne pourra pas être utilisé avant la signature du contrat.il devra être remis au notaire ou un établissement financier.

Le dépôt de garantie peut être remboursé, après renoncement à la signature du contrat dans les cas suivants :

*non-respect de délais

*augmentation du prix supérieur à 5%

*montant des prêts inférieurs à 10% du montant prévu.

*non-concordance de la description du logement sur le contrat de vente et sur le contrat de réservation.

*non fourniture d’un des équipements prévus.

  1. B) Le contrat de vente.

Vous  signerez devant un notaire, qui vous remettra le certificat d’urbanisme. Vous devrez alors vous renseigner avec attention sur les éventuelles servitudes du terrain et du logement. Vous assurer que le logement et le terrain ne sont grevés d’aucune hypothèque autre que celles garantissant le remboursement des prêts. Le contrat pourra revêtir deux formes.

La vente en l’état futur d’achèvement : dans ce cas précis vous devenez propriétaire du sol et de ce qui est construit  dès la signature. Vous devenez propriétaire du reste au fur et à mesure de son  édification. Le vendeur reste cependant le maître d’ouvrage.

La vente à terme :

Dans ce cas vous ne devenez propriétaire qu’a l’achèvement de la construction. Néanmoins, le vendeur s’engage à livrer la maison dès son achèvement.

Dans les deux cas les clauses  sont pratiquement les mêmes.

*il faut une description exacte et détaillée de la maison au moyen d’une notice spéciale conforme à un modèle type agrée par arrêté ministériel. Si la maison fait partie d’un ensemble, le contrat doit en préciser la situation exacte. Consultez avant signature le règlement de copropriété.

*préciser la date de livraison de la maison.

*préciser le prix et les conditions de révision éventuelles.

*La possibilité de résilier le contrat si les prêts ne sont pas obtenus.

*l’échelonnement des versements cumulés en fonction du prix total :

-35% à la fin des fondations.

-70% à la mise hors d’eau.

-95% à la fin de la construction.

-Le solde soit 5% sera versé à la remise des clés.

-Les paiements seront fait au vendeur dans les cas d’un de contrat de vente en l’état futur d’achèvement et à un établissement financier dans le cas de contrat de vente à terme.

Réception : (voir plus haut contrat d’entreprise.)

Elle est certifiée par écrit par un architecte ou par une personne désignée par le tribunal, dans la vente en l’état futur d’achèvement. Elle doit être faite devant notaire dans le contrat de vente à terme.

 

Garanties :

Dans le cas de la vente en l’état futur d’achèvement, il y  a deux garanties possibles : la garantie d’achèvement,  et la garantie de remboursement  toutes deux faites par un établissement financier. Dans le cas de la vente à terme, la garantie est implicite car le vendeur ne pourra utiliser les sommes versées qu’a la livraison d la maison…

 

 

Voilà  pour  j’espère avoir été assez clair et que cet article vous permettra de mener avec succès   vos démarches.